Il ne faut pas compter sur John Sterling pour apporter de l’humour au chaos ! Le commentateur vétéran des Yankees n’a pas retenu ses mots lors du match 2 de l’ALCS mardi soir contre les Guardians de Cleveland. Après que Jazz Chisholm Jr. ait été éliminé à la deuxième base, Anthony Rizzo, sur un petit nuage après avoir fait marquer Anthony Volpe avec un double, a tenté de voler la troisième base. Mais le chaos a pris le dessus lorsque le receveur de Cleveland, Austin Hedges, a réagi rapidement, piégeant Rizzo dans un rundown entre la deuxième et la troisième base. Sterling, regardant les manigances familières des coureurs des bases des Yankees, a parfaitement résumé la situation : “Eh bien, si ce n’était pas les Yankees, c’est exactement ce qu’ils font. Courir les bases comme une bande de ivrognes !”
À 86 ans, Sterling n’a pas perdu son sens de l’humour ni son esprit aiguisé. Son rire face à son propre commentaire était contagieux, transformant un moment embarrassant des Yankees en pur divertissement. Le retour à la retraite de Sterling a été un cadeau pour les fans des Yankees, surtout avec New York réalisant une solide course en playoffs cette saison. Et l’équipe a effectivement réagi, balayant le fiasco des coureurs pour s’assurer une victoire de 6-3 et une avance de 2-0 dans la série. Aaron Judge a pris les choses en main, écrasant son premier homer en postseason pour donner aux Yankees une avance confortable que les Guardians n’ont pas pu surmonter.
Malgré la sortie précoce de Gerrit Cole après que les Guardians aient réduit l’écart au cinquième, le bullpen de New York a verrouillé le reste du match. Le coup de deux points de Judge contre Hunter Gaddis a été le coup de grâce qui a porté l’avance des Yankees à 6-2, scellant presque la victoire et les envoyant à Cleveland avec un solide avantage dans la série.
Mais maintenant, c’est un match à gagner pour les Guardians alors que le match 3 se déplace sur leur terrain jeudi. Avec le premier lancer prévu à 17h08 HAE, les fans de Cleveland espèrent que leur équipe pourra renverser la situation. Alors, l’humour de John Sterling est-il le secret pour survivre à ces erreurs des Yankees ? Donnez-nous votre avis ci-dessous.