Attachez vos ceintures, car McDonald’s se prépare à une autre année difficile, et cette fois, ils misent tout sur un sauveur : le poulet. Oui, le géant du fast-food s’active pour garder les clients en train de croquer alors qu’une chute des ventes estivales a atteint deux chiffres pour la première fois en presque quatre ans, suscitant des inquiétudes sur la manière dont ils garderont les gens à grignoter en 2025. Le PDG de McDonald’s, Chris Kempczinski, a annoncé la nouvelle comme un tas de frites cette semaine, disant à tout le monde de se préparer à une année difficile à venir et soulignant que la seule issue pourrait être de renforcer leur menu de poulet.
Alors, quel est le grand plan ? Apparemment, privilégier le poulet au bœuf. Kempczinski est totalement dans la folie du poulet, affirmant qu’avec les prix du bœuf qui explosent—littéralement le double du coût par livre—c’est tout simplement plus intelligent d’attirer des clients à la recherche de valeur avec des options de volaille abordables. Et le McDonald’s $5 Meal Deal, avec des articles comme des sandwiches McChicken et des nuggets, pourrait être juste ce qu’il leur faut pour éviter de se noyer dans le rouge. Mais ce « deal » ne rend pas tout le monde heureux. Lamb Weston, le fournisseur de frites de McDonald’s, vient de fermer une usine dans l’État de Washington parce que la demande pour des frites moyennes et grandes a chuté alors que les clients les échangent contre des portions moins chères et plus petites dans ces repas à prix réduits. Le résultat ? 375 emplois perdus, et la demande de pommes de terre semble faible.
La conclusion est claire : si McDonald’s ne parvient pas à bien gérer son jeu de « valeur », ils s’attendent à une année 2025 difficile. Mais compter sur le poulet sera-t-il suffisant pour sauver les Arches d’Or de l’ennui ? Seul le temps—et vos envies—le dira.