Interlagos, São Paulo, Brésil, 25-27 mars 1994, RD1. Ayrton Senna, Williams FW16-Renault. Portrait. Photo : LAT Photographic/Williams F1. Ref : 1994williams16
Le 30 avril, nous avons publié le dernier tour de la vie de Roland Ratzenberger, pour commémorer trente ans depuis sa mort. Aujourd’hui, 1er mai, nous présentons l’un des comptes rendus les plus détaillés de ce dimanche tragique, disponible sur StatsF1. Écrit et compilé en français par le reporter ‘Tony’, ce récit approfondi du dernier dimanche d’Ayrton Senna a été traduit en anglais, avec des modifications minimes, pour capturer les nuances et les complexités de ce rapport exceptionnel. Bien qu’il puisse être long, c’est une lecture captivante, éclairante et émotive qui est incontournable pour les fans d’Ayrton.
Un moment touchant s’est produit pendant la séance d’échauffement. Ayrton Senna devait fournir un commentaire en direct sur un tour dans sa Williams-Renault dans le cadre du programme « Auto-Moto », diffusé sur la chaîne TF1. Conscient que son ancien rival, Alain Prost, était présent, Senna lui a envoyé un message sincère : « Avant de commencer, je veux adresser un salut spécial à mon… à notre cher ami Alain. Tu me manques, Alain ! » Prost, surpris et ému, se souviendrait de ces quelques mots pour le reste de sa vie.
Il y avait une tension palpable dans l’air avant le départ de la course. Bien que tout le monde pensait sans doute à Roland Ratzenberger, ils étaient également conscients de l’accident impliquant Rubens Barrichello. Il semblait que la malchance s’accrochait au circuit d’Imola. Senna, assis dans son cockpit, est resté sans casque pendant un temps inhabituellement long, allant à l’encontre de sa pratique habituelle de mettre immédiatement son casque.
Tout comme ses 24 autres pilotes (la place de Ratzenberger est restée vacante), Senna a essayé de se concentrer sur le défi imminent, qui promettait d’être éprouvant. Michael Schumacher n’a pas caché son désir d’obtenir une troisième victoire consécutive et de renforcer encore sa domination dans le championnat. Senna en était bien conscient. Lors du warm-up, il a réalisé des temps au tour impressionnants, visant à mettre la pression sur l’Allemand.
Dans les stands, les techniciens et ingénieurs de Williams et Benetton se préparaient pour une course hautement stratégique, s’attendant à ce que leurs pilotes vedettes effectuent au moins deux arrêts au stand. Schumacher a commencé avec moins de carburant que Senna, s’assurant d’être le premier à entrer aux stands.
Chez Simtek, Nick Wirth a permis à David Brabham de décider s’il voulait participer à la course ou non. Après de nombreuses délibérations, le pilote australien a choisi de partir, afin de ne pas démoraliser davantage son équipe.
Pré-course : Alboreto rencontre un dysfonctionnement électrique dans sa voiture lors du tour de formation. En conséquence, il commencera la course avec un véhicule de remplacement provenant de la zone des spectateurs.
Début de la course : Senna commence la course correctement, menant devant Schumacher, Berger et Hill. Malheureusement, Lehto subit une panne dans la troisième rangée. Frentzen et Katayama, qui se trouvent à côté de la Benetton, manœuvrent rapidement pour éviter une collision. Cependant, Lamy, gêné par la présence d’autres voitures, heurte l’obstacle à grande vitesse.
Lamy essaie de tourner à gauche, mais finit par frapper Lehto par l’arrière gauche. L’impact est extrêmement fort, entraînant plusieurs fragments de débris projetés hors de la piste, y compris deux roues de la Lotus volant vers les tribunes. Pendant ce temps, Lamy effectue une manœuvre effrayante dans la mauvaise direction, parcourant une distance de presque deux cents mètres depuis le point d’impact. Le côté droit de sa Lotus est complètement endommagé, mais heureusement, il ne subit aucune blessure.
Premier tour : La ligne droite principale est remplie de débris de carbone. Roland Bruynseraede demande le déploiement de la voiture de sécurité. Bien que Lehto et Lamy s’en sortent indemnes, des fragments de leurs véhicules parviennent à franchir les barrières de sécurité. Malheureusement, trois spectateurs et un policier subissent des blessures légères à cause d’une roue détachée provenant de la Lotus. Les pompiers interviennent rapidement dans les tribunes, bien que ces incidents ne soient connus qu’après la fin de la course.
Deuxième tour : Les voitures se rangent en ligne derrière la voiture de sécurité. Senna mène le peloton, suivi de Schumacher, Berger, Hill, Frentzen, Häkkinen, Larini, Wendlinger, Katayama et Brundle. Comas et Bernard entrent en collision, entraînant une perte de quelques positions pour Martégal lors de cet incident.
Troisième tour : Les commissaires de piste nettoient l’asphalte à la ligne de chronométrage, évacuant les deux véhicules détruits et nettoyant la fuite d’huile causée par le réservoir de carburant rupturé de Lehto. Pendant ce temps, des fans passionnés acclament avec enthousiasme Berger.
Cinquième tour : Les feux de la voiture de sécurité s’éteignent, indiquant que la course reprendra au prochain tour. Schumacher se positionne près de Senna, prêt à le surprendre avec une accélération soudaine.
Sixième tour : La voiture de sécurité disparaît progressivement et les drapeaux verts sont agités. Senna maintient son avance, avec Schumacher juste derrière, refusant de rester en retrait. En revanche, Berger accuse un retard, ayant été affecté par un incident précédent impliquant Bernard. Comas, qui a ressenti des vibrations dans sa Larrousse en raison du contact, décide de retourner aux stands pour une inspection.
Septième tour : Sous la pression de Schumacher, Senna aborde la redoutable courbe de Tamburello à une vitesse de 300 km/h. Soudain, alors qu’il se prépare à sortir de la courbe, la voiture Williams ne répond pas. Senna réagit rapidement, appliquant les freins. Cependant, la Williams continue tout droit, volant au-dessus de la zone de dégagement et percutant le mur en béton à un angle sévère. Elle rebondit sur plusieurs mètres, créant une pluie de débris, avant de finalement s’arrêter dans le bac à gravier.
Le côté droit de la voiture est gravement endommagé, mais la cellule de survie reste intacte. Tous les regards sont tournés vers Senna, attendant un signe de mouvement ou de geste. Le casque jaune bouge momentanément pendant une fraction de seconde. Et puis, c’est fini. Il est 14h17.
Le Grand Prix est, bien sûr, interrompu par le drapeau rouge. Les voitures se rangent sur la grille. Il faut une bonne minute pour que l’équipe médicale atteigne Tamburello. Et la danse horrible vue vendredi par Barrichello et samedi par Ratzenberger recommence. Le professeur Watkins, penché sur le visage inanimé et ensanglanté de son ami, est horrifié par ce qu’il voit.
Un bras de suspension, tel une épée, a transpercé le crâne de Senna. La situation est grave, mais le malheureux a encore un cœur qui bat. Il reçoit des soins médicaux sur place. L’hélicoptère de secours atterrit sur la piste, entre Tamburello et Tosa, prêt à décoller.
Les spectateurs, téléspectateurs et journalistes traversent des moments angoissants. Dans les stands, la plupart des responsables d’équipe choisissent le silence et n’informent pas leurs pilotes de la gravité de la situation.
Environ quinze minutes après l’impact, alors que l’équipe médicale travaille autour de Senna, Érik Comas quitte son garage, sa voiture ayant été réparée. Il atteint la fin de la voie des stands où, inexplicablement, le signal passe au vert !
Comas entre sur la piste, accélère, passe Tamburello… et tombe sur l’hélicoptère médical et les commissaires de course devant, au milieu de la piste. Il freine immédiatement, coupe le moteur et s’informe de la situation.
C’est alors qu’il voit Senna, l’homme qui lui a sauvé la vie deux ans plus tôt à Spa, allongé dans une mare de sang. Il n’y a rien qu’il puisse faire pour lui. Comas, terrifié et le seul pilote conscient de la sombre réalité, ne peut qu’observer la scène.
Dans les débris de la Williams FW16, un commissaire découvre un petit drapeau autrichien. L’ironie du sort : Senna avait l’intention de rendre hommage à Ratzenberger lors d’un éventuel tour de victoire.
À 14h35, Senna, complètement inconscient et sur une civière, est transporté par hélicoptère à l’hôpital Maggiore de Bologne. Son jeune frère, Leonardo, l’accompagne dans un jet privé affrété par Bernie Ecclestone. Pendant ce temps, les voitures retournent sur la grille de départ avec leurs pilotes.
Le directeur de course de la FIA, Roland Bruynseraede, annonce que la course reprendra à partir du 7ème tour et sera écourtée de trois tours. La classification sera déterminée en additionnant les temps.
La nouvelle grille de départ est la suivante : Schumacher, Berger, Hill, Frentzen, Häkkinen, Larini, Wendlinger, Katayama, Brundle, Morbidelli, Blundell, Fittipaldi, Herbert, Panis, de Cesaris, Beretta, Brabham, Gachot, Bernard et Alboreto. Encore secoué par ce qu’il a vu quelques minutes plus tôt, Comas décide de ne pas continuer.
Il y a une confusion générale entourant la composition actuelle de la grille, tout le monde reconnaissant la gravité de la situation mais ignorant la nature exacte des blessures subies par le pilote brésilien. Certains directeurs d’équipe essaient de donner des assurances vagues pour maintenir l’accent sur la course. Chez Williams-Renault, il y a un sentiment clair de désarroi.
Frank Williams, Patrick Head, Adrian Newey, Bernard Dudot, Christian Contzen, David Brown et Ian Harrison, le directeur sportif, se réunissent pour une réunion stratégique. La cause de l’accident de Senna est encore inconnue, bien qu’elle soit probablement attribuée à une défaillance mécanique. La principale préoccupation maintenant est de savoir s’il est sûr de permettre à Damon Hill de continuer à courir. Hill, visiblement anxieux, se retrouve à hésiter.
Ann Bradshaw, l’attachée de presse de l’équipe, reconnaît ouvertement la gravité de l’état de santé de son coéquipier. Hill hésite encore plus, mais Dickie Stanford, l’ingénieur en chef, le guide fermement vers son cockpit, lui lançant un regard sévère. Chez Williams, quelles que soient les circonstances, la course doit continuer…
Le rapport couvre ensuite la course, qui se termine au 58e et dernier tour. Michael Schumacher sort victorieux de ce sombre GP de Saint-Marin, avec Larini prenant la deuxième place et réalisant son premier podium en carrière. Häkkinen termine troisième, offrant à McLaren-Peugeot leur premier résultat positif.
Wendlinger finit à la quatrième place, devant Katayama. Hill parvient à décrocher un point unique. Frentzen, Brundle, Blundell, Herbert, Panis et Bernard terminent également l’épreuve avec succès.
Schumacher, Häkkinen et surtout Larini saluent joyeusement les fans en parcourant la piste pour montrer leur gratitude. Ils ne sont pas conscients des événements tragiques qui se sont déroulés. Sur le podium, ils répondent tous avec un sourire aux applaudissements de la foule, ravis du retour en forme des Ferrari.
Ce n’est que quelques instants plus tard que les trois premiers pilotes, ainsi que leurs collègues, ont été informés de l’état critique de Senna. Nous avons également appris que deux mécaniciens touchés par la roue d’Alboreto, Maurizio Barberi (Ferrari) et Neil Baldry (Lotus), avaient subi des blessures, dont une jambe cassée et un léger traumatisme crânien, respectivement.
La presse, la radio et la télévision se sont précipitées à Bologne, devant l’hôpital Maggiore, à la recherche des dernières nouvelles sur l’état de Senna, bien que le communiqué de presse publié dans l’après-midi laissait peu de doute sur l’issue fatale.
En effet, les chirurgiens ont rapidement reconnu la gravité de l’état du champion brésilien. Le bras de suspension qui a transpercé son casque a causé des dommages cérébraux irréversibles. Un neurochirurgien compétent de l’hôpital Bellaria a été appelé par ses collègues du Maggiore pour une opération de dernière minute, qui s’est révélée futile.
Au fil du temps, le pouls de Senna s’est affaibli. À 18 heures, le Dr Maria Teresa Flandri, responsable de la médecine, a annoncé que l’électroencéphalogramme de Senna ne montrait aucune activité. Il a alors été déclaré cliniquement mort. Le père Zuffa lui a administré les derniers sacrements. L’hôpital Maggiore, entouré de journalistes, de fans et de curieux, a été pris en charge par les carabiniers pour maintenir l’ordre.
À 18h40, la nouvelle dévastatrice est enfin arrivée : Ayrton Senna était décédé. Il avait 34 ans, un an de plus que Ratzenberger.
L’enquête sur la cause de cet accident fatal donnerait lieu à une abondante littérature. On pense qu’il s’agit d’une défaillance mécanique, comme l’indique le témoignage oculaire de Michael Schumacher : « La Williams souffrait d’un affaissement significatif à l’arrière. Lors du tour précédent, j’ai senti qu’elle était très instable à cet endroit, où il y a une bosse sur la piste.
« Ayrton a presque perdu le contrôle. La dernière image que j’ai de lui est celle où il s’est à nouveau affaissé, une pluie d’étincelles émanant des planchers derrière lui, puis il a disparu de ma vue, » a ajouté Schumacher.
La hypothèse la plus plausible est la défaillance de la colonne de direction, que, comme nous le rappelons, Senna avait changée avant la course. Une soudure hâtive a pu causer cette défaillance fatale. D’autres facteurs contributifs peuvent inclure une baisse de pression des pneus due à une crevaison précoce (probablement causée par des débris de la collision Lehto-Lamy) ou les plusieurs tours passés derrière la voiture de sécurité.
La Formule 1 est dans un état de totale dévastation dans son existence discrète en tant que sport de milliardaires. Cette séquence de calamités a laissé ses participants déconcertés, désorientés et brisés. Depuis le GP de Belgique de 1960, où Chris Bristow et Alan Stacey ont tragiquement perdu la vie, nous n’avons pas été témoins de la perte de deux pilotes en un seul week-end.
La cruelle ironie du destin a réuni l’inexpérimenté et peu classé Roland Ratzenberger, et la superstar, l’idole, le peut-être plus grand pilote de tous les temps, « Magic » Senna. Ce symbole tragique rappelle à tous les pilotes qu’ils sont impliqués dans un sport dangereux, où les plus grands et les plus humbles peuvent devenir des victimes.
Il sert également d’avertissement aux dirigeants, en particulier Max Mosley et Bernie Ecclestone, qui se préoccupaient beaucoup d’ajuster les règlements aux exigences économiques. Leur quête d’innovations douteuses, comme le ravitaillement en essence, les a amenés à perdre de vue des exigences de sécurité cruciales.
Cependant, ce qui a vraiment choqué les journalistes et les téléspectateurs du monde entier, c’est l’indécence affichée par les décideurs et les commissaires, qui, après l’accident de Senna, ont permis une continuation ridicule du Grand Prix.
Dans la nuit de ce tragique 1er mai 1994, les réactions allaient du désespoir à la colère. Alain Prost, dévasté par la perte de son ami, a exprimé son amertume sur TF1 : « Nous venons d’assister à un week-end absolument incroyable. Trois accidents extrêmement graves, apparemment causés par des défaillances mécaniques. Nous savions que des incidents de cette nature finiraient par se produire, c’était presque inévitable.
« Nous pouvons toujours soutenir que la F1 est un sport dangereux et qu’il y a toujours des risques à circuler à 300 km/h sur un circuit comme Imola. Mais il n’y a pas d’inévitabilité. Les préoccupations en matière de sécurité ont longtemps été négligées. Maintenant, les affaires passent avant le sport. Les pouvoirs qui étaient autrefois séparés du sport et de l’économie se sont fusionnés…
« Comme nous l’avons vu aujourd’hui, la seule chose qui compte est de redémarrer la course, de la continuer, sans s’arrêter même lorsque des personnes blessées gisent dans les tribunes… Personnellement, je trouve cela scandaleux. Les pilotes eux-mêmes auraient dû s’exprimer après l’accident de Senna. Nous devons prioriser le sport par rapport aux intérêts commerciaux, » a déclaré Prost.
Jackie Stewart et Niki Lauda ont également appelé les pilotes à s’unir et à exercer une pression sur la FIA, plaidant pour un nouvel accent sur la sécurité.
Pierluigi Martini, quant à lui, souligne la nature difficile de la conduite des monoplaces actuelles cette saison : « Aujourd’hui, les voitures de F1 sont incroyablement rigides pour maximiser l’effet de sol. Nous sommes pratiquement collés à la piste.
« Cela signifie que nous ressentons chaque bosse sur la route, ce qui devient une myriade de dangers. Avec Senna, nous avons effectué des inspections aux points les plus dangereux d’Imola. Il y avait une volonté d’améliorations, mais simplement pas assez de temps… »
Mika Häkkinen a déclaré : « La section Tamburello avait des surfaces inégales par rapport à avant, même dans les chicanes rapides. Il est absolument nécessaire de ralentir ! »
« Nous avons eu des discussions sur ces dangers avec Senna, » se souvient Michael Schumacher. « Nous allons convoquer une réunion vendredi à Monaco. Il devient urgent que nous présentions des propositions. »
Les pilotes vont-ils enfin comprendre leurs obligations ? Comment réagira Max Mosley, le président de la FIA, qui est visiblement absent ce week-end à Imola, à leurs préoccupations ?
Cependant, pour l’instant, c’est un temps de deuil. Ayrton Senna, cet champion exceptionnel, avec la capacité d’accomplir des exploits les plus incroyables, cette personne complexe, animée par des motivations cachées, passionnée, exigeante, désireuse de triomphe et de perfection, inspirée par une foi fervente, cet être humain ordinaire adoré par des millions de fans à travers le monde, idole du peuple brésilien, laissera à jamais une empreinte durable dans les annales de ce sport.
Son départ dans toute sa gloire, face aux défis de celui qui convoitait son trône, cette sortie tragique l’élève au statut mythique et absout ses erreurs. Senna, le Magnifique, est parti comme il a vécu : en tête d’un Grand Prix, devant tous les autres.
© 2024
Le monde du sport est plein d’excitation et de surprises, et 2024 ne fait pas exception. Cette année promet d’être riche en moments inoubliables pour les fans de sport du monde entier. Des compétitions palpitantes aux records battus, les mois à venir s’annoncent passionnants pour les amateurs de sport.
Une des compétitions principales que nous attendons avec impatience est la Coupe du Monde. Les meilleures équipes du monde s’affronteront dans une bataille épique pour le titre. Les joueurs les plus talentueux de la planète mettront en avant leurs compétences et concourront pour le prix le plus convoité du football.
De plus, les Jeux Olympiques de 2024 promettent également d’être un événement sportif à couper le souffle. Des athlètes du monde entier se rassembleront pour concourir dans une variété de sports, mettant en valeur leur talent et leur dévouement. Ce sera une occasion pour les pays de démontrer leur force et leur unité à travers le sport.
Une autre compétition passionnante est la Ligue des champions de l’UEFA. Les meilleurs clubs de football en Europe s’affronteront pour le titre de champion. Les matchs seront pleins de rivalités intenses et de moments palpitants qui tiendront les fans en haleine devant leurs écrans.
En plus du football, d’autres sports occuperont également le devant de la scène en 2024. Le basketball, par exemple, aura la NBA avec ses matchs électrisants et ses joueurs incroyables. Le tennis aura également des tournois passionnants, avec les meilleurs joueurs du monde en compétition pour le titre.
En résumé, 2024 sera une année pleine d’excitation et de compétitions sportives incroyables. Les fans de sport auront beaucoup à attendre et à célébrer tout au long de l’année. Préparez-vous à encourager, célébrer et être surpris par les moments inoubliables qui vous attendent.