Leclerc et Ferrari ont profité d’une stratégie à un arrêt, démontrant une gestion des pneus et une vitesse impressionnantes, Leclerc décrochant une admirable quatrième place.
Lewis Hamilton a vécu une journée difficile au Grand Prix du Japon, ce qui a conduit à son départ d’une interview d’après-course après qu’une question ait insinué de l’envie face à la performance supérieure de Ferrari dans la course.
Le champion sept fois titré a commencé la course derrière Charles Leclerc de Ferrari, sur une trajectoire stratégique similaire.
Cependant, un incident précoce impliquant Daniel Ricciardo et Alex Albon a contraint Hamilton et son coéquipier George Russell à changer leur stratégie de course, passant de pneus médiums à durs après une interruption due à un drapeau rouge.
Ce changement de stratégie, visant une course à un arrêt, s’est rapidement révélé inefficace face aux exigences de la course, surtout pour Hamilton, qui s’est retrouvé à la traîne derrière Russell et a finalement été invité à échanger de positions.
La stratégie de Mercedes a échoué alors qu’Hamilton exprimait des préoccupations concernant l’état de ses pneus, amenant l’équipe à adopter une stratégie à deux arrêts qui a conduit Hamilton et Russell à terminer respectivement en septième et neuvième positions.
En revanche, Leclerc et Ferrari ont capitalisé sur une stratégie à un arrêt, montrant une gestion des pneus et une vitesse impressionnantes, Leclerc sécurisant une place honorable en quatrième position.
Le résultat de la course a été un coup dur pour Mercedes, élargissant davantage l’écart dans le championnat des constructeurs, Ferrari maintenant une avance substantielle.
La performance de Ferrari cette saison sous la direction de Frederic Vasseur a été remarquable, les établissant comme un concurrent redoutable face à Red Bull.
Après la course, la frustration d’Hamilton était évidente.
Christian Horner de #RedBull fait toujours face à la possibilité d’être licencié alors que la #FIA prend des mesures.
Lorsqu’on lui a demandé par RacingNews365 et d’autres ce qu’il pensait de la quatrième étape de la saison, il a répondu succinctement : « C’était bien ».
La question sur une possible jalousie envers le succès de Ferrari a suscité une réponse brève de Hamilton : « Avez-vous une meilleure question ? » avant de choisir de mettre fin à l’entretien.
Cet échange a mis en lumière les tensions et les enjeux élevés en Formule 1, surtout alors qu’Hamilton se prépare à son passage chez Ferrari l’année prochaine, laissant derrière lui une saison difficile avec Mercedes.